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  • Supersonic - Sons of love - Printemps/Été

    Thomas De POURQUERY, sax alto, soprano, chant et direction Fabrice MARTINEZ : trompette, bugle et chant Laurent BARDAINNE : sax ténor et chant Frederick GALIAY : basse électrique Arnaud ROULIN : claviers Edward PERRAUD : batterie
  • Supersonic cet hiver

    Thomas De POURQUERY, sax alto, soprano, chant et direction Fabrice MARTINEZ : trompette, bugle et chant Laurent BARDAINNE : sax ténor et chant Frederick GALIAY : basse électrique Arnaud ROULIN : claviers Edward PERRAUD : batterie
  • Supersonic "Sons of love"

    Après la superbe soirée pour la sortie du nouvel album, le mois dernier à la Gaité Lyrique (Paris), le "all stars" dirigé par Thomas de Pourquery repart sur les routes...

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Wrac

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Des Rivages

Inna Maaimura : plasticien
Jean-Sébastien Mariage : composition électro-acoustique pour 6 guitares électriques

Inna Maaimura écrit : "Depuis que j´ai compris que dans l´installation comptait tout autant ce moment proprement dit de l´installation, elle devenait par là même une action. Et que l’action aussi débordait dans l´"objet" fini, et qu’elle débordait en amont dans le quotidien, dans la vie elle-même, je comprenais que c´est la vie qui venait déborder l´action, l´installation comme moment et comme résultat ou “objet fini”. Il aurait été alors criminel de congédier la vie, de la renvoyer à l´extérieur de l’action et de se donner bonne conscience (stérile et close) et satisfaction creuse d´avoir fait “de l´art”. Cette action sans limite, débordée et débordante de vie, c´est le rituel. C’est ainsi que je comprends qu´il n´y a ni début ni fin...L´action ne fait rien. Elle est la vie, son arrêt, sa suspension non pas comme si la vie s´arrêtait mais plutôt comme si elle était rendue à sa présence réelle. Cet arrêt, c’est la tentative d’une formalisation. Ici, dans ce moment de l’action, on s´arrête. On respire, écoute, danse quand rentre en nous le vent ou la couleur d´une feuille morte ou la présence remarquable des compagnons qui nous entourent ... Elle est un poème, cette action, elle est une peinture prolongée dans la vie, j´aurais même envie de dire "transie" de vie. Et j´ai le sentiment qu´ainsi la vie se fait agissante. Pourquoi écrire le poème du monde quand il n´y a qu´à se baigner dedans ? - non pas comme des poissons dans l´eau mais comme de l´eau dans de l´eau. »




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