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  • 10 mars - Godjira - Paris

    Deux basses électriques dans le même ampli-totem-monolythique, creusant dans la matière, font (re)naître l’ultime dinosaure théropode radioactif Godjira.

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Frederick Galiay

Basse électrique, composition, images.

MUD

Gaël Cordaro - Frederick Galiay

MUD est un duo composé de Gaël Cordaro à la guitare électrique et de Frederick Galiay à la basse électrique et au chant. Les deux artistes travaillent ensemble depuis plus d’une dizaine d’années en design sonore (cinéma, événements, installations et performances).

Les influences de MUD sont multiples, elles se retrouvent en essence dans une musique libre de formes, en une matière sonore radicalement singulière.

Gaël Cordaro, guitariste électrique, se concentre sur le son, la matière rauque et organique du blues des origines depuis son plus jeune âge. Il confronte ce blues aux incessantes évolutions musicales de son temps, notamment en collaborant à des projets tels que CHAMÆLEO VULGARIS comme réalisateur sonore.

Frederick Galiay, compositeur, bassiste électrique, se produisant régulièrement sur la scène improvisée avec de très nombreux musiciens, est passionné pour la pluralité musicale. Fondateur de BIG (drum&bass)et de BIG POP avec Edward Perraud, il compose actuellement pour WINTER MASS avec J.Didonato & Sayoko et pour PEARLS OF SWINES avec S.Murcia, G.Coronado et F.Vaillant.
Il est également le bassiste du SUPERSONIC de Thomas De Pourquery (victoires jazz 2014), du trio KYZYL avec Christian ZANÉSI et du quatuor de basses électrique de Kasper T. Toeplitz SLEAZE ART.


Ainsi, une fois de plus, Who’s enjoying this Zoo ?, le nouveau projet du bassiste Frederick Galiay, cette fois associé au guitariste Gaël Cordaro, allie puissance et délicatesse. Le duo Mud produit une pop expérimentale où les chansons tiennent lieu de gros plans et les instrumentaux de plans d’ensemble. Des fenêtres du train qui nous emmène je crois reconnaître des paysages. Est-ce de les avoir traversés moi-même ou de m’y sentir invité ? Les sons électroniques et les ambiances réelles élargissent encore le cadre de ce disque intimiste. Cette musique de chambre à petit budget pour rêveur éveillé est étonnamment proche de la grosse machine somnambulique de Radiohead.
PAR JEAN-JACQUES BIRGÉ - MEDIAPART

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Photo : Dorothy Shoes


Brilliant Misfortune :



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