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_____________________________________________________________________________________________________________Basse électrique, composition, images.
Il n’y a qu’un bloc,
dans lequel (à l’aide d’un burin mental)
pratiquer des vides et filtrer la matière,
à la manière dont on filtre la roche pour en extraire le précieux minerai.
Affiner, cisailler, tailler jusqu’à plus rien en certains lieux.
Ailleurs,
brute, massive,
presque telle quelle.
Pas ici de construction, pas d’architectures, de pièces qui
s’imbriqueraient jusqu’à l’élaboration d’un édifice qui aurait bien peu de
chance, ainsi brisé, écartelé,
dénaturé par la dispersion des atomes,
de l’unité,
de s’en approcher.
Bâtie avec les copeaux du tout qui est déjà là,
prêt à nous accueillir dans son introspection organique,
cette construction faite des débris ; voire d’étais et d’outils, serait déconstruction.
L’aveu de la crainte de se méprendre sur la matière, tant elle est dense
et immense.
La matière immense est incompréhensible.
Il faut y creuser, y plonger.
S’y rendre.
C’est tout.
N’y rien édifier.
Cathédrale ou totem, sur l’océan,
Icariens tous deux.
grattant le ciel qui n’en a cure.
Jean-Sébastien Mariage : guitare électrique
Frederick Galiay : basse électrique
Catherine Jauniaux : voix
Jean-Sébastien Mariage : guitare électrique
Frederick Galiay : basse électrique
Mathias Pontevia : batterie horizontale
Sayoko : mélodies, voix et textes
Jacques Di Donato : clarinette et percussions
Frederick Galiay : basse, composition & direction
Sarah Murcia : chant & clavier
Gilles Coronado : guitare
Franck Vaillant : batterie
Frederick Galiay : basse, voix, composition & direction
Musique composée sur des textes d’Edgar Allan Poe.
Danse contemporaine